Nouvelle Journée Parents/Enfants à l'AS Caluire Karaté

Cette nouvelle année s’annonce grandiose et l’AS Caluire Karaté est déjà prête à souhaiter ses meilleurs vœux. Pour l’occasion, rien de tel qu’un triple stage gratuit. Au menu de ce début 2016, il y en a pour tous les goûts : Baby Karaté, Karaté Enfant et Body Karaté. Bien sûr, à l’occasion ce troisième atelier parents/enfants, toute la famille est conviée.

Retour sur les motivations d’une telle action gratuite et mensuelle, avec une interview exclusive des professeurs de l’AS Caluire Karaté, des adhérents et de leurs parents, réalisée par Karine MAHUT, secrétaire de la Section Karaté.

 

Karine MAHUT : Pourquoi organiser des journées gratuites et mensuelles dédiées aux parents et aux enfants ?

Franck MORRIER, professeur historique et vice-président : ses journées sont en réalité inspirées de notre traditionnel stage parents/enfants organisé courant Septembre. Nous avons su capter l’intérêt des familles en créant un espace où parents et enfants peuvent partager ensemble. Le temps d’un après-midi, ils s’extraient de leur quotidien et du contexte familial habituel. Les capacités des enfants sont également valorisées sous le regard des parents. Dans le même temps, ils peuvent mieux comprendre les succès de leurs enfants tout en saisissant les difficultés qu’ils sont amenés à rencontrer.

 

Karine MAHUT : Quels intérêts avez-vous pour ces journées si spéciales ?

Mohamed et Meriem BOUTHARI, pratiquants et parents de pratiquants : nos enfants nous font partager l’activité qu’ils aiment et qu’ils pratiquent parfois 1 à 4 fois dans la semaine. Pendant ces journées, ils jouent au professeur et nous enseignent ce qu’ils apprennent depuis des semaines. C’est très valorisant pour eux, tout en étant une vraie responsabilité. Nous apprécions ces journées parce qu’elles participent, en plus des cours hebdomadaires, à construire et enrichir nos enfants.

David CONNES, parent de pratiquants : ces journées nous font aussi comprendre toute la patience que les enfants doivent acquérir pour devenir de bons karatékas. C’est même parfois très difficile pour nous de reproduire les mouvements qu’eux ont acquis les semaines précédentes. La coordination est très difficile : lever le bras gauche, avancer la jambe droite, mettre un coup de poing avec le bras droit tout en pensant au Kimé (force) et à la rapidité ! Ce n’est vraiment pas simple, on se mélange souvent les pinceaux.

David IMPERATO, pratiquant : ces journées favorisent la complicité entre les enfants et les parents. Même les Baby Karatékas ont une certaine fierté à expliquer à leurs parents. Ils sont même souvent plus exigeants que les professeurs. C’est à la fois très drôle et très intéressant de voir tout ça se mettre en place. J’ai hâte de pouvoir mettre mon propre enfant au Baby Karaté, rien que pour partager ces instants si particuliers.

 

Karine MAHUT : Et qu’est-ce qu’en pense les enfants ? La réponse semble unanime !

Les Enfants pratiquants : on se rassemble, on montre tout ce qu’on apprend et parfois on découvre avec papa et maman, ou papi et mamie. C’est super parce qu’à la fin, après qu’on a bien transpiré, on fait un goûter tous ensemble.

 

 

C’est aussi ça, l’AS Caluire Karaté, des moments simples mais tellement évidents où sport et plaisir sont les seuls mots qui importent.

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